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A Antony, la Fête de la Musique a toujours une semaine d’avance. Le Parc Heller se remplit de stands, de scènes et de publics de tous âges.

D’abord, Maxence un peu sceptique devant un petit groupe de jeunes rockers:

Après une petite crêpe au sucre, direction l’atelier maquillage. Maxence voulait un chien. Au final, il aurait pu rugir. En tous cas, il a été patient pendant la transformation et a adoré sa nouvelle tête!

Au passage, vous remarquerez la nouvelle coupe de cheveux de Maxence, qui n’a presque pas pleuré chez le coiffeur cette fois…

A tiger in the sky…

D’abord, il a fallu s’équiper pour des températures estivales.

Maxence, victime de la mode:

Bonhomme essaye son tshirt et son joli bermuda tout neufs. Il va se regarder dans le miroir, revient et dit: \”Je suis beau! On dirait une ‘tite fille!\”

Allez comprendre!

Ensuite, il a fallu avaler quelques 400 kilomètres pour arriver à une heure tardive et découvrir avec horreur (et pleurs) que nous avions oublié la veilleuse de Maxence.

Bref. Le week-end aura été intense mais pas côté sommeil!

Nous avons passé de bons moments au restaurant tous les 4 (couché, Gambrinus!)

Maxence a découvert l’océan, les marées et les jolis coquillages:

Même Gambrinus s’est fait des amis! (ne me demandez pas où il est sur la photo, aucune idée!!!)

Et bien sûr, nous avons fait la fête en l’honneur des 40 ans de Renaud sur l’île de Barbâtre:

Pays Basque, nous voici! Nous avons décidé de séjourner à Bayonne et nous avons pu découvrir la ville sous un soleil de plomb avant que la pluie ne nous déloge.

Déjeuner en bord de quai:

Encore de bons souvenirs pour les papilles:

Petit tour à Guéthary avant l’orage et avant un dîner à Saint Jean de Luz:

Un pays basque sauvage et riche où il a fait bon flâner…

Après une étape à Monbazillac pour se réapprovisionner en bon vin, nous voici en Gironde pour découvrir la Dune du Pilat.

100 mètres au dessus du niveau de la mer, gravis à flanc de dune et pieds nus, bien sûr!

Une halte près d’Arcachon, au restaurant du Port de la Teste de Buch, où notre estomac s’est repu de soupe de poisson et d’aïoli…

Un aperçu du périple:

La cathédrale romane de St Nectaire et ses vitraux:

Les vaches bénies:

La vue de notre hotel à Salers:

Plénitude…

Contre-jour:

Pèlerinage à Bort-les-Orgues pour découvrir le barrage en pensant à mon Papa:

En route vers l’Ouest, la cathédrale de Périgueux, qui a des faux airs du Sacré Coeur:

Une première étape gastronomique et reposante dans une région que nous ne connaissions pas, pays des volcans, du fromage et du bon vin. A revoir en famille, c’est sûr!

D’abord il y a eu la surprise: quoi, un volcan sur un glacier? Où ça? En Islande? Mais nous on va en Irlande, on s’en fiche!

Quoi? le glacier s’appelle Eyjafjallajökull? Et alors, on sait même pas le prononcer et il vient nous ruiner nos vacances celui-là?

Et puis, il y a eu l’attente, à guetter les mises à jour sur le site d’Air France et les derniers bulletins météo sur l’orientation des vents et la progression du nuage de cendres.

Vint alors la déception, quand le jour du départ, le vol a bel et bien été annulé et reporté sans aucune certitude à 2 ou 3 jours plus tard.

Il a donc fallu réagir vite et bien.

Prendre le Ferry pour aller à Dublin coûte que coûte? Moyennant 15h de voyage et plusieurs centaines d’euros, mauvaise idée!

Aller au soleil à Marrakech peut-être? Impossible, tous les avions sont bloqués.

Un petit voyage en train en Europe de l’Est ou en Italie? Impossible, grève de la SNCF.

Un séjour à New York? Impossible, pas de passeport biométrique…

Et bien, puisque c’est comme ça, nous partons en France!